4.5 Poser des objets

LOC – 2/07/2018 – 2

Plan de la fiche

1. Inventaire

1.1 Image

1.2 Gallery

1.3 Diagramme

1.4 Formule

1.5 Forme

1.6 Fontwork

1.7 Étiquette de texte

1.8 Autres objets

Objet OLE

Cadre flottant

Contrôle de formulaire

2. Généralités

2.1 Sélection

2.2 Ancrage

2.3 Opérations sur un objet unique

Déplacement

Redimensionnement

Rotation, inclinaison, retournement

Bordures

Remplissage (arrière-plan ou texte)

Désignations

Assigner une macro

Assigner un hyperlien

Précisions

2.4 Les groupes d’objets

2.41 Regroupement, composition et assemblage

2.42 Grouper des objets épars

2.43 Grouper des objets en une composition

Théorie des calques

Composition : pas dans n’importe quel ordre

Assemblage après ajustements

3. Des objets plus élaborés

3.1 Les étiquettes de texte

3.2 Les diagrammes

3.3 Les textes fantaisie (Fontwork)

3.4 Les formules

Présentation

Ce titre générique, Poser des objets, rassemble ce qu’il est possible de poser dans une feuille autre que du contenu dans les cellules. Ces objets concernent les images et assimilés, les médias, les étiquettes de texte, les diagrammes, les compositions de texte, etc.

J’étudie en détail l’objet Image dans le traitement de texte, ici : LOW 1.5 Insérer une image dans le texte et en particulier, au §3.Associer l’image et le texte. Cette présentation détaillée est incontournable pour qui veut agrémenter ses feuilles d’objets divers.

Cette fiche comprend trois parties : un inventaire des différents objets susceptibles d’être insérés, des généralités qui s’appliquent à la manipulation de tous ces objets, et le mode opératoire, sur des fiches spécifiques, pour composer les objets qui doivent l’être : les étiquettes de texte, les diagrammes, les textes fantaisie et les formules.

1. Inventaire

Je présente la liste des objets susceptibles de nous intéresser et je regroupe en dernier paragraphe ceux qui dépassent le cadre de ce site.

Je respecte l’ordre dans lequel ils sont proposés ici :

Dans Menu : ▼ Insertion (et les sous-menus associés).

1.1 Image

L’image est un fichier avec une extension du type JPEG, JPG, GIF, PDF, etc. Pour les photos, les dimensions de l’image sont souvent excessives par rapport au support d’accueil. Il est préférable de les redimensionner avant de les insérer, mais ce travail peut être fait dans le tableur.

1.2 Gallery

Il s’agit d’un module présent aussi en Traitement de texte, qui permet de disposer de motifs, des fonds, des icônes d’une très grande richesse. Il s’agit d’images. Une fois insérées, ces icônes sont manipulées comme les images.

1.3 Diagramme

Le diagramme est un objet construit à partir de certaines colonnes d’un tableau pour en donner une représentation graphique (histogramme, courbes, radar, etc.). L’insertion d’un diagramme se fait donc en deux temps : sa construction et son insertion. Une fois inséré, il se manipule comme un objet basique.

1.4 Formule

La formule s’apparente au diagramme en ce sens qu’elle doit être composée puis insérée. Elle reste cependant un objet classique.

1.5 Forme

Il s’agit de formes graphique manipulables comme des images. Le menu propose plusieurs catégories. Leur intérêt est de pouvoir être construites sur mesure.

1.6 Fontwork

Ce module, propre à LibreOffice permet des compositions artistiques avec du texte. Les paramétrages sont illimités en forme, relief ou couleur. Ici encore, deux phases : la composition et l’insertion. Une fois inséré, la composition se manipule comme un objet classique.

1.7 Étiquette de texte

C’est un cadre dans lequel un texte ordinaire est placé. Le texte est paramétrable comme un texte classique dans une cellule. Une fois le cadre construit et rempli, il se manipule comme un objet classique.

1.8 Autres objets

Objet OLE

C’est un cadre dans lequel s’affiche un fichier LibreOffice comme s’il était dans son module d’origine. Le fichier peut copié (il fait alors partie du document qui le reçoit) soit lié (seul un lien actif les relie). Dans certaines circonstances, c’est très pratique. J’avoue ne pas savoir comment gérer ce type d’objet une fois qu’il est inséré (déplacement, redimensionnement, suppression). Je n’en parlerai pas plus.

Cadre flottant

Cette fonctionnalité est disponible par souci de compatibilité des documents HTML. Elle est prévu pour insérer des fichiers HTML. Nous sommes hors du cadre de ce manuel.

Contrôle de formulaire

Permet de construire les formulaires que l’on trouve sur les pages internet ou dans la gestion des bases de données. J’étudierai cette fonctionnalité dans les bases de données (site à venir).

2. Généralités

Si chaque objet est particulier, les méthodes pour les insérer et les adapter sont analogues. Ce paragraphe précise les manipulations générales.

2.1 Sélection

Pour manipuler un objet, je dois au préalable le sélectionner :

Dans l’objet : ▼.

L’objet sélectionné apparaît dans un cadre virtuel (selon les objets, entouré d’une bordure spécifique) avec une poignée à chaque angle et au milieu de chaque côté pour modifier à main levé ses dimensions. En survolant l’objet, le curseur prend la forme d’une croix multidirectionnelle qui permet le déplacement par un glisser – déposer classique.

Pour afficher un menu contextuel permettant de manipuler l’objet :

Dans l’objet sélectionné : ▲.

Le menu comprend généralement couper, copier, coller ; dessin d’un cadre (ligne), remplissage du fond (couleur et effets), insertion d’un texte, position et taille (et retour à la taille d’origine); description, nom ; retournement, positionnement (calques), alignement, ancrage, affectation d’une macro ; groupage (dégroupage).

Si l’objet comprend un élément éditable (texte, formule), pour accéder à cet élément :

Dans l’objet : ▼▼ ; le point d’insertion est sur la zone éditable.

2.2 Ancrage

Un objet est nécessairement ancré à la page ou à une cellule. Avant de vouloir positionner un objet avec précision, il est important de l’ancrer au bon repère.

L’ancrage à la page le rend en quelque sorte immobile. Les lignes et les colonnes peuvent être modifiées dans leurs dimensions, l’objet reste toujours à la même place relativement au coin en haut à gauche de la page, c’est-à-dire de la zone intérieure de la feuille imprimée, délimitée par les marges des quatre côtés. Le déplacement de l’objet se fera par rapport à ce repère.

L’ancrage à la cellule rend l’objet solidaire de la cellule. Si la hauteur des lignes du dessus ou la largeur des colonnes de gauche sont modifiées, l’objet restera accroché au coin supérieur gauche de la cellule à laquelle il est ancré. Si par la suite, l’objet est déplacé, il sera ancré à la cellule qui reçoit son coin supérieur gauche. Ce type ancrage vaut pour tous les objets associés à la cellule.

2.3 Opérations sur un objet unique

Ces opérations sont possibles quand l’objet est sélectionné.

Les trois opérations classiques d’édition (Couper, copier, coller, avec leur raccourci habituel) sont possibles.

[Suppr] détruit l’objet sélectionné.

Déplacement

Pour déplacer un objet :

(le curseur prend la forme d’une croix multi-directionnelle quand il survole l’objet sélectionné);

▼ ►▲ à l’endroit voulu.

Il est possible aussi de modifier les distances par rapport à l’origine de la page :

Dans le menu contextuel : ▼ Position et taille… <[Position et taille];

Position

Protéger

Position;

Le croquis Point de base permet de choisir facilement quel point de l’objet prendre comme destination de la distance. Quel que soit l’ancrage, les positions X et Y correspondent à la distance entre l’origine de la page et le point de base de l’objet.

Il est possible de protéger le positionnement en cochant la case proposée. Tant que la case est cochée pour cet objet, celui-ci ne peut pas être déplacé.

Redimensionnement

Dans la même fenêtre, il est possible de modifier les dimensions de l’objet :

Taille

Conserver le ratio : cochée, cette case permet de modifier qu’une dimension, l’autre étant automatiquement calculée pour que le ratio largeur/hauteur soit respecté.

Protéger

Taille;

Le redimensionnement peut se faire aussi en déplaçant les poignées du cadre. Quand on bouge les poignées des angles, le ratio est conservé. Quand on bouge les poignées en milieu des côtés, le ratio n’est pas conservé. L’effet inverse peut être obtenu avec [Maj+] avant le déplacement.

Une ligne du menu contextuel permet de retrouver la taille d’origine de l’objet.

Pour les textes, le dimensionnement peut être dynamique (en fonction du texte) en largeur et en hauteur.

Il est possible de protéger la taille en cochant la case proposée. Une taille protégée ne peut pas être modifiée en déplaçant les poignées du cadre.

Rotation, inclinaison et retournements

La même fenêtre propose de faire tourner l’objet sur lui-même dans n’importe quel sens. C’est l’onglet Rotation. Il est possible aussi d’incliner l’objet : dans l’onglet Inclinaison.

Le menu contextuel propose aussi les retournements verticaux ou horizontaux (effet miroir).

Bordures

Pour dessiner une bordure autour de l’objet :

Dans le menu contextuel : ▼ Ligne… <[Ligne];

| Ligne | ‡ Propriétés de ligne

Style : Continu;

Cette fenêtre est utilisée en fait pour paramétrer des styles de lignes avec ou sans flèches, et définir précisément les formes posées dans la feuille.

Pour encadrer un objet, il suffit de choisir le style Continu. Mais les fonctionnalités sont pauvres (épaisseur du trait, couleur). La distance du cadre à l’objet n’est pas paramétrable. On est loin des fonctionnalités offertes en traitement de texte avec la ligne Propriétés du menu contextuel.

Remplissage (Arrière-plan ou texte)

En revanche, pour remplir le cadre (arrière-plan), nous retrouvons toutes les fonctionnalités connues que j’ai décrites ici : LOW 4.1 Couleurs, autres motifs et transparence.

Il est possible de poser un texte dans un objet :

Dans le menu contextuel : ▼ Texte…

L’opération est délicate car l’étiquette de texte n’est pas matérialisée dans l’espace. Au survol, le curseur se transforme en point d’insertion.

L’étiquette de texte étant un objet, nous sommes ici dans le contexte décrit plus bas (groupes d’objets).

Désignations

Il est possible d’associer à l’objet ce que Calc appelle une Description. La description comporte un titre et un texte :

Dans le menu contextuel : ▼ Description…

 

Il est possible d’associer à l’objet un Nom :

Dans le menu contextuel : ▼ Nom..

Le Nom identifie l’objet, et on le retrouve dans le navigateur sous la rubrique Images pour les images. Ce qui permet, d’un double-clic, d’accéder immédiatement à l’objet. Dommage que cette facilité ne soit ouverte que pour les images.

Assigner une macro

N’importe quel objet peut se voir associé à une macro en fonction d’événement tel que ▼, ▲ ou même le survol. Voir : 4.6 Les macros :

Dans le menu contextuel : ▼ Assigner la macro…

Assigner un hyperlien

De la même façon, un objet peut tenir un lien qui est actionné avec [Ctrl+]▼ :

Dans le menu contextuel : ▼ Éditer l’hyperlien.

Quand le lien est assigné à l’objet, le menu contextuel propose aussi : Ouvrir l’hyperlien et Supprimer l’hyperlien.

La fenêtre de gestion des hyperliens est classique. Il suffit ici de saisir l’URL complète (Exemple : https://geneses.fr).Plus de détails ici : 2.3 Manipuler le contenu des cellules, § 6. Associer un hyperlien au contenu.

Précisions

Après avoir actionné le menu contextuel avec ▲ sur l’objet sélectionné, le retour au contexte de départ est parfois problématique. Manifestement, Calc sur ces fonctionnalités n’est pas très au point. Pour retrouver l’objet, il faut le deviner au survol du curseur qui se transforme en croix multi-directionnelle et déplacer (si le positionnement n’est pas protégé) : il s’affiche normalement. Sinon, il faut recharger le classeur, ce qui suppose qu’il avait été sauvegardé peu de temps avant.

2.4 Les groupes d’objets

Le sujet est délicat, à la fois par ses résultats et par ses manipulations. Pour commencer, il est important de s’entendre sur le sens des mots.

2.41 Regroupement, composition et assemblage

Il est possible de grouper plusieurs objets. Comme on le fait en composition graphique avec des calques, un objet peut comprendre plusieurs objets empilés, éventuellement alignés certains par rapport à d’autres. J’appelle ce regroupement une composition. Elle se fait en deux temps : le groupage des objets qui restent distincts à ce stade et peuvent, par exemple, être alignés les uns par rapport aux autres. Et l’assemblage : les objets groupés deviennent un seul objet. Après assemblage, la composition peut être déplacée ou redimensionnée comme s’il s’agissait d’un objet unique.

Le groupe peut concerner aussi plusieurs objets épars dans la feuille que l’on regroupe pour les aligner entre eux ou pour les manipuler ensemble dans une seule opération (au lieu de répéter l’opération pour chacun des objets). J’appelle cette manipulation, un regroupement.

Le groupage est l’action de grouper (avec son corolaire, le dégroupage). Le regroupement ou la composition sont le résultat instable d’un groupage. L’assemblage est le résultat stabilisé d’une composition ou d’un regroupement.

2.42 Grouper des objets épars

Le regroupement d’objets épars se fait très simplement :

Dans le premier objet : ▼ (l’objet sélectionné affiche ses poignées);

Pour associer un deuxième objet, dans celui-ci : [Maj+]▼;

La sélection initiale est agrandie pour englober le deuxième objet : les poignées ont changé de place, entourant un rectangle virtuel comprenant les deux objets.

Pour associer un nouvel objet au groupage en cours, dans celui-ci : [Maj+]▼.

La sélection précédente est agrandie pour inclure le nouvel objet. Je peux répéter l’opération autant que nécessaire.

En clair, il s’agit d’une sélection multiple.

 

Pour dégrouper les objets associés :

Dans la feuille, en dehors des objets sélectionnés : ▼.

Cette association est donc instable : il suffit d’un clic ailleurs dans la feuille pour qu’elle disparaisse. Néanmoins, il est possible de la figer.

 

Manipulation sur les regroupements :

Les objets du regroupement peuvent être édités ensemble avec les fonctions classiques et leur raccourci : couper, copier, coller.

Les objets du regroupement peuvent être supprimés d’un coup avec [Supp].

Le regroupement peut être déplacé : il suffit de déplacer un des objets regroupés, les autres suivent le mouvement.

Le regroupement peut être redimensionné à partir d’une poignée du rectangle virtuel, comme s’il s’agissait d’un objet unique.

Dans un regroupement, les objets peuvent être alignés les uns par rapport aux autres. L’alignement se fait sur l’objet ayant le côté à positionner le plus extrême (le plus haut, le plus à gauche) ; pour les centrages, le positionnement de fait par rapport à l’objet ayant la dimension la plus grande. Attention, les objets doivent ne pas être protégé en position pour pouvoir être alignés.

 

Pour figer un regroupement d’objets :

Dans un des objets sélectionnés : ▲;

Dans le menu contextuel : ▼ Groupe, Grouper.

Cet assemblage peut être annulé :

Dans l’objet assemblé : ▲ (Menu contextuel);

Groupe, Dissocier.

Quand le regroupement est figé, les objets assemblés ne forment, pour les manipulations, qu’un seul objet. Cette transformation a deux conséquences :

  • Il n’est plus possible de manipuler un objet faisant partie du regroupement comme un objet unique ; en particulier, si un des objets étaient protégé en taille ou position, il perd cette protection.
  • La sélection d’un des objets du regroupement, sélectionne le regroupement et c’est sur lui qu’opère la manipulation. En particulier, si nécessaire, le regroupement pourra être protégé en taille ou position.

Toutes les opérations décrites plus haut (§ 2.3) pour un objet, sont possibles sur un regroupement (suppression, copie, déplacement, redimensionnement).

2.43 Grouper des objets en une composition

La seule différence, sur le plan opératoire, entre un regroupement et une composition, tient au fait que la composition regroupe les objets les uns sur les autres.

Toutes les manipulations sont identiques. À deux nuances, importantes, près. Mais pour commencer, quelques précisions concernant les calques.

Théorie des calques

Les calques papier ont cette propriété, quand on les empile, d’être transparents pour montrer ce qui est visible sur chacun d’eux. Si un objet cache par ses dimensions, un objet plus petit sur un calque dessous, ce dernier sera invisible. Pour qu’il soit visible, il faut remonter le calque au-dessus de celui du grand objet.

Avec les objets empilés dans une composition, c’est pareil. Le menu contextuel Positionner permet de déplacer les calques :

Envoyer à l’avant : l’objet est propulsé en tête de pile ;

Vers l’avant :l’objet est remonté d’un cran dans la pile ;

Vers l’arrière : l’objet est descendu d’un cran dans la pile ;

Envoyer à l’arrière : l’objet est propulsé en dernière position ;

Il existe aussi une position particulière. L’objet positionné à l’arrière-plan est sorti de la pile des calques pour être mis sous la feuille. Le dessin des cellules est visible dessus.

Je ne sais pas comment un objet positionné à l’arrière-plan peut être sorti de cette position (sauf avec [Ctrl+ Z] pour annuler l’opération immédiatement). 

1. Composition : pas dans n’importe quel ordre

Pour regrouper des objets empilés en vue d’en faire une composition, il faut commencer par sélectionner le plus petit objet, ou faire en sorte qu’après une sélection, les objets restant à regrouper soient tous visibles.

2. Assemblage après ajustements

En cours de regroupement, et de toutes façons avant l’assemblage, il est impératif de procéder aux redimensionnements, positionnements, repositionnements des calques, et alignements nécessaires. L’idéal est d’aligner les objets au fur et à mesure du regroupement.

Ce n’est que lorsque la composition est au point qu’elle peut être assemblée. Il peut être judicieux, avant l’assemblage, de faire une copie du regroupement pour pouvoir y revenir pour modifier un objet, par exemple.

3. L’assemblage génère un nouvel objet

Après assemblage, les objets précédents ne sont plus accessibles et l’assemblage devient un nouvel objet, unique.

3. Des objets plus élaborés

3.1 Les étiquettes de texte

Ce module est accessible dans la plupart des modules de LibreOffice. Il permet de poser un texte dans un cadre et de formater, le texte et le cadre, à volonté, de manipuler le cadre comme un objet quelconque. Je décris cette fonctionnalité intéressante ici : 4.51 Les étiquettes de texte.

3.2 Les diagrammes

Ils ont fait la gloire des tableurs et des diaporamas. Il est en effet très facile, à partir d’un tableau de données, d’en donner une représentation graphique parlante. J’explique ce qu’il faut savoir pour créer un beau diagramme et comment le réaliser ici : 4.52 Les diagrammes.

3.3 Les textes fantaisie (Fontwork)

Ce module est disponible dans tous les modules de LibreOffice. Il permet de dessiner un texte court dans une matrice déformante en jouant sur tous les paramètres : forme, relief, bordures, fond, etc. Je décris l’utilisation de Fontwork ici : 4.53 Fontwork , les textes fantaisie.

3.4 Les formules

Les formules mathématiques sont parfois difficiles à écrire en traitement de texte classique. Formule est un module disponible dans tous les modules LibreOffice qui permet de composer une formule avec un éditeur astucieux. Le résultat est une étiquette de texte un peu particulière, manipulable et éditable à volonté. Je décris l’utilisation de Formule ici : 4.54 Formules.

Informations complémentaires

Liens

2.3 Manipuler le contenu des cellules, § 6. Associer un hyperlien au contenu

4.51 Les étiquettes de texte

4.52 Les diagrammes

4.53 Fontwork , les textes fantaisie

4.54 Formules

4.6 Les macros

LOW 1.5 Insérer une image dans le texte – §3.Associer l’image et le texte

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